Autres interprétations

Marc Luni (1998) : 1814, 1821. Le point culminant de la guerre sera atteint entre Bayonne et Saint Jean de Luz, où Wellington repoussera l’armée de Napoléon et fixera son quartier général. Sous le souffle du « vent d’Aquilon », c’est-à-dire en Russie. NApoléon BoNApaRte finira de perdre sa gloire. Il connaîtra le désastre de la Bérézina, et mourra bientôt das son lit, seul sur son île.

Jean-Charles de Fontbrune (1980) : Soult à Bayonne, Wellington à Saint-Jean-de-Luz. La Russie impose l’abdication 1814. Mort de Napoléon à Sainte-Hélène 1821.

Vlaicu Ionescu (1976) : Nanar = les soviétiques.

Serge Hutin (1972) : Quatrain en partie symbolique, mais s’appliquant aussi aux épisodes diplomatiques à la frontière franco-espagnole (sous Louis XIV notamment).

Colin de Larmor (1925) : entre Bayonne et Saint-Jean-de-Luz, au promontoire de Biarritz sera posée a villa impériale. A l’équinoxe d’automne, Nanar ou Nana, femme de débauche, fera contracter à Napoléon III par ses excès, une maladie dont il mourra, suffoqué par le chloroforme, à Londres, sans secours.

Anatole Le Pelletier (1867) : Le roc (le promontoire), contre lequel viendra échouer la fortune de Mars (personnage futur), attend ce prince (sera posé) dans la région située au pied des Pyrénées, entre Bayonne & Saint-Jean-de-Luz. Une prostituée (nanar) mettra fin (hostera lux) aux exploits de Mars (aux hanix d’Aquilon; de annixus, effort); & il sera étouffé, – ou étranglé, – dans le lit, sans que personne viene à son aide (sans adjutoire).