Elections
présidentielles 2002 en France
A toutes
les époques les prophéties de Nostradamus ont été utilisées à
des fins politiques. Le 11 février 2002, en Avignon, au lancement
de sa campagne présidentielle, le candidat Jacques Chirac persiste
et signe dans cette voie : Il annonce de façon voilée qu’il
est le Grand Monarque.
Lisez attentivement
ces trois quatrains tirés des Centuries :
0841 (cliquez
sur le
)
0738
0752
Je sais que Paco Rabane
voit en Chirac le Chyren susnommé et j’affirme qu’il a complètement
copié ses théories sur le livre cinquantenaire d’Emile Ruir et
d’autres acharnés du retour à la monarchie. Quelle influence ont
eu ces idées sur les conseillers en communication du candidat ?
Regardez la date :
11.02.2002
Réduisez le premier
nombre et retirez les zéros, vous aurez : 2.2.2.2 soit 2
quatrains (1.1.1.1 x 2) or la ligne répétée : «Le roy de
Bloys dans Avignon regner » est unique dans toute les Centuries,
c’est le seul cas de doublon.
Il ne pouvait choisir
les autres dates parce que plus flagrantes : 2.2.2002 et
20.2.2002.
Au soir de ce 11 février
lors de l’entretien télévisé entre le candidat et Patrick Poivre
d’Arvor, Jacques Chirac répond patiemment mais un peu gêné aux
questions du journaliste et il énonce une proposition incongrue :
l’émancipation de certains structures vagues. Il ne peut s’expliquer
plus et rit jaune. Il sent qu’il a été trop loin et se rétracte :
En fait c’est le terme «emonopolle» du quatrain 0738 qu’il voile.
Si Jacques Chirac avait
été ce monarque tant attendu, ça se saurait depuis longtemps,
et depuis longtemps il aurait mis ses promesses et paroles en
adéquation avec ses actes. Mais cela n’est hélas jamais arrivé
à celui qui proclame l’impunité zéro pour tous et non pour lui-même.
Ajoutons que briguer
un tel titre (monarque) est une attitude franchemet anti-républicaine.
Suivez la campagne et
analysez ses discours et prestations en parallèle avec l’uvre
de Nostradamus et vous trouverez certainement des ressemblances.
Pour mémoire dans le
VSD du 29 septembre 1994, j’avais pronostiqué que seul un président
s’appelant Jacques serait élu. Quelques semaines avant le verdict
final, je savais que Lionel Jospin serait battu. Le 7 mai 1995
c’est la sainte Gisèle (gisent «l») or il y a bien deux «l» dans
Lionel.
Le 21 avril ce cette
année est la saint Anselme et les trois candidats de tête sont
passés par l’ENA. L’inverse d’Anselme est em-les-na (aime l’ENA).
Voici une élection présidentielle
qui s’annonce piquante de rebondissement.
Eric Platel d'Armoc
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